Baudelaire, le diable et moi
« Émue jusqu’à la fibre de l’âme, je détaille son costume ajusté aux tons sombres, ses mains gantées, nerveuses, triturant un chapeau d’une élégance rare, son visage bouleversant. Pas exactement beau, mais infiniment séduisant. ?Le beau est toujours bizarre.? Il finit par grimacer un sourire. ?Bonjour, mademoiselle.? Sa voix...